Ce lundi 21 novembre 2011, nous apprenions la disparition de Monsieur Pierre MERCIER.  Instituteur retraité, il était au pupitre des clarinettes de notre Philharmonie depuis  de nombreuses années ; ce qui lui valut de recevoir en 2009 une médaille pour 55 ans de présence audit pupitre.  Il était un modèle d’humilité et de respect.   Nous perdons un musicien, un ami mais surtout un grand homme.
Il y a un poème de Lamartine que Pierre appréciait au plus haut point, je vous le laisse découvrir en guise d’hommage.

 

Le livre de la vie est le livre suprême
Qu’on ne peut ni fermer ni ouvrir à son choix
Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois
Et le feuillet fatal se tourne de lui-même
On voudrait revenir à la page où l’on aime
Mais la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts.

(Lamartine)

Que tous ceux qui l’ont connu aient une pensée émue pour Claudette, sa fidèle épouse ainsi que pour sa famille !

Denise Duez